Où trouver des escorts dans le quartier de champel à Genève ?

La prostitution est une activité légale et réglementée en Suisse, contrairement à la France où elle est interdite. Cela suscite un intérêt croissant chez les Français qui souhaitent comprendre ce qu’ils peuvent trouver légalement en Suisse, les différences avec la France et les limites légales en Suisse.

La prostitution en Suisse : un travail légal et encadré

En Suisse, la prostitution est considérée comme un travail légal et encadré. Les travailleurs du sexe ont un permis de travail, paient des impôts et acquittent des charges sociales. Ils travaillent ouvertement, principalement dans le quartier des Pâquis à Genève. La majorité des travailleurs du sexe viennent d’Europe, en particulier d’Europe de l’Est, grâce à des accords entre la Communauté européenne et la Suisse.

La prostitution a été légalisée en Suisse en 1992. Depuis lors, les cantons sont libres de légiférer pour encadrer et contrôler la prostitution. Les deux grandes villes de la Suisse, Genève et Zurich, encadrent la prostitution, qui doit s’exercer dans des lieux précis.

L’escorting en France : une activité ambiguë

En France, l’escorting est une activité qui consiste à accompagner une personne pour une sortie, en échange d’une rémunération. Cette activité est souvent confondue avec la prostitution car elle peut aboutir à des relations sexuelles. Cependant, il existe des différences importantes. Par exemple, les escortes travaillent souvent de manière indépendante et ne dépendent pas d’une structure spécifique.

La législation française encadre la prostitution. Une personne peut vendre son corps dès lors qu’elle est majeure. Cependant, il est interdit qu’une autre personne profite de la rémunération à sa place, comme c’est le cas pour les proxénètes.

La loi genevoise sur la prostitution

À Genève, la loi genevoise sur la prostitution (LProst) et son règlement (RProst) définissent le cadre légal pour l’exercice du travail du sexe et l’exploitation de salons érotiques ou d’agences d’escort.

Pour exercer à Genève, il faut au préalable suivre une séance d’information. Ces séances ont lieu tous les jours du lundi au vendredi, à 11h. Elles sont gratuites, sans inscription, et sont organisées dans les locaux d’Aspasie, une association genevoise de défense des droits des prostituées.

Après la séance d’information, il faut procéder à l’enregistrement obligatoire dans le service de police BTPI (Brigade contre la traite et la prostitution illicite) pour ensuite pouvoir exercer.

Où trouver des escorts à Champel à Genève ?

Toutes les maisons closes de Genève ne se valent pas. Avant de vous rendre dans un établissement hébergeant des escorts girls vous devez vous assurez de sa fiabilité, de son respect pour les travailleuses du sexe et de la qualité des filles qui y travaillent. Si vous voulez une valeur sûre, on peut vous recommander Felina, une maison close avec escort de luxe quartier de Champel. On aime dans cet établissement son positionnement Luxe et la discrétion de l’établissement qui peuvent changer d’endroits parfois glauques ou trop en vue des passants. La maison est ouverte tous les jours 24h sur 24 et s’adaptera donc totalement à votre emploi du temps. Une quinzaine de filles y sont actives en même temps, vous devriez donc facilement trouver chaussure à votre pied, quelque soient vos attentes, vos fantasmes et votre type de fille. Douche dorée, domination, soumission… Les filles affichent clairement ce qu’elles acceptent ou pas pour que vous sachiez exactement à quoi vous attendre.

D’autres maisons closes existent à Champel mais on ne pourra pas vous les recommander, soit car on ne les a pas essayé soit car notre expérience des lieux fut négative.