Gros cul vs petits cul : le débat

Plus que jamais, le débat fait rage entre amateurs de gros culs et amateurs de petits culs. Alors que la mode est indéniablement aux gros culs, nos amateurs de petits derrières n’ont pas dit leur dernier mot. Tentons donc de trancher une bonne fois pour toute qui des gros culs ou des petits culs il est le plus convenable d’aimer.

Les différents types de culs

LES GROS CULS

Pas besoin de vous présenter les gros culs les plus fameux, ils sont toutes les 10 minutes sur toutes les bonnes chaînes musicales. Iggy Azalea, J-Lo, Beyonce et, bien sûr, la reine de toutes, Nicky Minaj. Au delà des chanteuses, Kim Kardashian ou Amber Rose représentent elles aussi très fièrement la caste des gros culs. On pourrait ajouter à cette liste des chanteuses telles qu’Adèle mais non, le qualificatif de gros cul se donne en fonction du reste, si le cul d’une meuf ne déborde pas de sa silhouette elle ne peut prétendre au statut de meuf à gros cul mais juste à celui de meuf grosse.

Je vous mets des photos pour illustrer mes propos et pour faire du clic.

LES PETITS CULS

Moins nombreux, moins mediatisés, les petits culs sont ségrégués et ce n’est pas bien. Dans la nouvelle génération seule Ariana Grande peut prétendre au titre de petit cul et, si on remonte plus loin, on ne trouve plus que Shakira, Nicole Scherzinger et peut être Rihanna, un peu entre les 2, à appartenir à cette belle famille. Quand on voit qu’il y a 10-15 ans on avait encore Ciara, Amerie, Cassie ou Aaliyah on se dit qu’on ferait mieux de se consacrer à la préservation de la meuf à petit cul plutôt qu’à celle du thon rouge dont ni vous ni moi n’avez rien à branler.

Je mets aussi des photos, quitte à racoler j’y vais à fond.

Les moyens cul

Entre petits cul et gros cul il y a ce qu’on appelle les moyens culs. En fait la plupart du temps on ne les appelle pas parce qu’on s’en fout de ces meufs. Ou de ces culs. Ni gros ni petits, pas bombés sans être forcément plats, ces moyens culs n’ont aucun intérêt. Les filles qui les possèdent, dans le meilleur des cas, se contentent de ne pas en jouer ou, dans le pire des cas, essaient de rivaliser avec beaucoup trop fort pour elles. C’est par exemple la mésaventure qui est arrivée à Jessie J dans le clip de Bang Bang qui s’est brûlée pour avoir voulu voler trop près des soleils que sont Nicki Minaj et Ariana Grande.

Je ne mets pas d’autres photos que celle ci-dessus, ça n’attirerait personne. Même pas sûr que quelqu’un ait déjà pris ce type de cul en photo.

Forces et faiblesses des différents culs

Certains vous diront qu’aimer les gros culs plutôt que les petits culs est une affaire de goût et que les goûts et les couleurs ça ne se discute pas. Ces gens sont des cons. Evidemment que ça se discute et les premières à le faire sont les femmes elles-mêmes, surtout celles dotées de moyens culs d’ailleurs. Celles-ci avanceront que les petits culs se font vomir et que les gros culs ont des prothèses. Ce sont des rageuses. Gros culs comme petits culs ont une qualité commune : l’abnégation. Que ce soit en faisant des squats à haute dose pour faire gonfler leurs fessiers ou en courant sur elliptique pour conserver leurs sveltes silhouettes, elles méritent ce qu’elles ont et tout notre respect. Et ce respect c’est en matant leur cul et en discutant qu’on peut le mieux leur témoigner.

Concernant les gros culs, le principal avantage est bien évidemment le confort. Un gros cul c’est une Bentley, t’es bien dedans, c’est pas super facile à garer mais t’en es tellement fier qu’il faut que tu le montres à tous tes potes. Sur une fille le gros cul donne du caractère à la silhouette, voyez comme il est facile de sortir spontanément les noms des stars à gros culs alors qu’on galère à citer les petits culs. Au niveau des défauts liés au gros cul on dira qu’il envahit vite l’esprit de la fille qui le possède pour ne plus lui faire penser que par ça, il suffit d’écouter la discographie de Nicki Minaj pour s’en convaincre.

Le chiffre : Chaque mois, 60.500 français tapent « Gros cul » sur google

Pour poursuivre la métaphore automobile avec les petits culs, on dira qu’il s’agit de petites Smart, très maniables, très pratiques, faciles à bouger mais pas forcément impressionnants de prime abord. Le petit cul c’est un peu le fantasme inavouable, le tag « Teen » sur les sites de cul, une sorte de détournement de mineur autorisé. Regardez Ariana Grande, je suis sûr que vous avez vérifié son âge avant de vous autoriser à fantasmer sur elle. (ndlr : Elle a 21 ans, vous pouvez y aller) On dira donc que le petit cul est bien mignon mais que, normalement, le fantasme doit vous passer avec l’âge.

Le chiffre : Seuls 18.000 français tapent « petit cul » sur google tous les mois.

Qui fantasme sur quoi ?

Longtemps, le fantasme du gros cul a été l’apanage des noirs. Ne me traitez pas de raciste vous savez que j’ai raison. Et puis y a 2 noirs dans la rédaction ce qui protège le site de toute attaque du CRAN ou du Lilian Thuram, inutile de perdre votre temps. Je disais donc que les noirs ont longtemps privilégié les gros culs. Mais, en même temps qu’ils s’en détournaient pour s’attaquer à nos blondes, les blancs se sont mis à courir après les gros culs nouvellement délaissés. Ainsi, l’équilibre est revenu dans la force et tout le monde s’est mis à aimer les gros culs.

Sur le fantasme du petit cul c’est plus dur d’identifier les fanatiques. Je serais tenté de vous dire que ce sont surtout des pédophiles qui n’ont pas le courage de passer à l’acte mais j’ai pas fait d’étude sur le sujet donc je m’abstiens.

L’avis de notre expert

Les stars sont assez peu prolixes sur le sujet et refusent souvent de s’exprimer sur leur amour des petits ou des gros culs. Une parole d’expert se dégage tout de même, celle de Booba. Ci-dessous quelques citations qui doivent nous guider vers la lumière.

« J’ai tellement de disques de platine qu’il en pleut
Si t’es trop fine je n’te baise pas #Karembeu »
« J’préfère l’boule à Fatoumata que le boulard d’Adelaïde »
« J’aime les gros derrières, c’est la faute à J.Lo »
« J’aime les gros culs, pas les go skinny skinny »
« N’aime pas seulement une go car elle est bonne et jolie, un gros cul de déesse me ferait faire des folies »
« Lève ta main si t’as du jack jack , des gros culs à ta ble-ta »
« T’es pas bonne si t’as pas fesses t’as wallouh »
Vous l’aurez compris, la haute société et les professions intellectuelles penchent très largement en faveur des gros culs.

Verdict : Quel cul faut-il aimer ?

Même si j’ai, au fond de moi, très envie d’être tolérant, j’en suis incapable. Je vais donc vous imposer une conclusion qu’il vous faudra accepter sans broncher. Les commentaires sont là si vous pensez vraiment pouvoir me faire changer d’avis mais on sait tous que toute tentative de débat partira immanquablement en échange d’insultes.

La mode est au gros cul et, pour une fois, la mode a raison. Qui peut nier que Nicki Minaj est surbonne ? Qui peut rester de marbre face au déhanché de Iggy Azalea ? Qui n’a pas prié le ciel d’être sélectionné pour le casting de « Kim K Superstar 2 » ? Préférer les petits culs aux gros culs c’est prendre le risque de sombrer petit à petit dans les pires perversions. A leurs époques, Marc Dutroux et Emile Louis préféraient Britney Spears à Jennifer Lopez et voyez comme ils ont fini. C’est ça que vous voulez ? Je ne crois pas.

Victoire des gros culs.